Résumé :
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Si le terme "être violent" signifie agir de façon qui blesse ou fait du tort, alors une grande part de notre communication avec nous-mêmes et avec autrui peut être qualifiée de violente. Néanmoins, tout ce que nous faisons, nous autres humains, n'est qu'une tentative de préserver ou d'améliorer la qualité et la continuité de notre existence. Si cette affirmation est vraie, il est difficile de détester cet acte, ce qui le motive ou son auteur. Si l'on garde cette idée ou hypothèse au premier plan de notre conscience, on ressent souvent une bienveillance naturelle et puissante à l'égard d'autrui. Le processus de Communication Non-Violente de Marshall Rosenberg, fondé sur cette bienveillance, aide à savoir comment écouter, penser et s'exprimer, de manière à non seulement accroître la compréhension et les rapports entre personnes, mais aussi le respect pour nos différences mutuelles.
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